« J’ai beaucoup appris sur moi et mon éducation en devenant beau-père » : la famille recomposée vue par François, de Tuteur Illégal
C’est une figure singulière de la communauté des beaux-parents sur Instagram. François, alias Tuteur illégal, est l’heureux beau-père depuis 10 ans de Lisa et Maël, qu’il a connus à respectivement 7 ans et 2 ans. Sans langue de bois, il raconte sur son compte les joies et tensions inhérentes à son rôle, des anecdotes aussi drôles que touchantes et un bon lot des questions qui le traversent. Pour Les Nichées, il revient sur son histoire de famille recomposée, sur ce qu’il pense être les clés du succès, et sur l’aventure de sa page Instagram. Une rencontre coup de coeur. Les Nichées : Devenir beau-père, tu dirais que ça a été…
“Bonne fête, ta mère !” Le piège de la fête des mères pour les belles-mères
The Belle-Mère Diary – Il y a celles qui sont fêtées avec les mamans, celles qui ne sont pas fêtées du tout… et celles qui aimeraient juste qu’on pense à elles une fois de temps en temps ! Bref, être belle-mère quand approche la fête des mères, c’est une sacrée galère… Pour les enfants aussi, d’ailleurs… Et le pire, c’est que chaque année, ça recommence ! Plongée dans une journée émotionnellement à hauts risques. Au fil des années, j’ai aidé des petites mains à cuire des gâteaux, à faire des fleurs en papier crépon et à écrire des “Bonne fête maman” au feutre, au crayon, à la peinture qui bave…
Vivre en famille recomposée, c’est vivre avec des fantômes
The Belle-Mère Diary – Ils sont toujours là, plus ou moins visibles, tantôt discrets, tantôt envahissants ! En famille recomposée, on n’en finit pas de croiser les spectres de la vie d’avant : ceux du couple précédent, de la famille précédente, d’une histoire qui est terminée mais qui ne se laisse pas oublier… Faute de toujours pouvoir les ignorer ou les exorciser, il nous reste à les apprivoiser. Bienvenue dans ma maison hantée ! Si je devais choisir une image, je dirais que reconstruire une famille recomposée, c’est rebâtir une histoire et une vie de famille sur des cendres parfois encore brûlantes, des sables parfois encore mouvants et sur des…
Famille recomposée : “Sa fille a gagné, on s’est séparés après quelques mois de vie commune”
Après des années à se voir en amoureux puis une semaine sur deux au gré du rythme de la garde alternée, Damien et Stéphanie finissent par habiter sous le même toit. Du bonheur pour les parents enfin réunis, mais le début d’une descente aux enfers, au rythme des crises de la fille ado de Stéphanie qui n’accepte pas la situation. Le couple n’y survivra pas. Récit d’une déconstruction. “Je me suis séparé de la mère de mes enfants à l’été 2014, mes enfants ont 3 et 5 ans à l’époque. En septembre, nous commençons la garde alternée une semaine sur deux, et moi je me lance dans la construction d’une…
Des comptes Instagram pour rire de nos galères avec nos ex
On a beau être séparés, quand on est parents, on a toujours le privilège d’échanger avec nos ex… pour le meilleur (rester un couple parental pour prendre soin de notre progéniture) et le pire (bien souvent, ce qui a fait que nous sommes des ex aujourd’hui, précisément). Plusieurs comptes Instagram proposent des échanges de SMS qui fleurent bon le vécu (ou l’hallu). Si vous ne les connaissez pas encore, voici une sélection brillantissime pour dédramatiser et rire un bon coup (jaune). Exrelou, des perles à la pelle Des ruptures qui passent mal, des ex qui ne veulent pas comprendre, des mecs qui insistent et des filles qui font semblant de…
Pourquoi je ne suis pas très à l’aise avec l’expression “bonus mom”
The Belle-Mère Diary – Elle est plutôt à la mode cette expression anglo-saxonne plus positive et volontariste que notre bon vieux “belle-mère”. Sauf que pour moi, rien à faire, ce “bonus mom” coince aussi. Alors ok, je suis d’accord avec vous, le mot “belle-mère” est une catastrophe pour nous, les “femmes de l’après”, les deuxièmes (au moins), celles avec qui on recompose et avec qui les gamins vont vivre (au moins de temps en temps) et grandir. Belle-mère, belle-doche, marâtre… Déjà parce qu’on nous confond avec la mère de notre homme (et souvent, avouons-le, on ne préférerait pas jouer dans la même cour que belle-maman). Ensuite parce que ce “belle”…